Vendredi 8 avril 2014,
Voilà, je suis tranquille pour quelques jours, LT138 vient de partir avec la plupart des autres Dorvals vers le sud, afin d'éliminer les Lockmans; ils ont promis qu'ils ne souffriraient pas. Moi, je trouve cela quand même grave que le Gouvernement ait donné son accord pour un génocide comme celui-ci! Il est vrai que ces gros lézards puants risquaient de revenir un jour ou l'autre... Depuis quelques jours, LT138 ne me quittait plus: je sais que je rate quelque chose mais je me méfie un peu; il y a trop de trucs bizarres en ce moment avec ces Dorvals...
Dimanche 10 avril 2014,
LT138 n'est toujours pas là et je commence à vraiment flipper: tous ceux qui se sont envoyés en l'air avec un ou une Dorval sont devenus complètement accrocs! J'ai des copains qui ont foutu leurs petites amies ou leurs femmes à la rue après avoir couché avec une Dorval! Les gens perdent vraiment la tête. Sinon, rien de neuf, les sorties ont repris de plus belle et les radiations AD sont encore montées d'un cran. On recommande de rester chez soi et de ne sortir que durant la nuit. J'avais compris cela depuis longtemps...
Mardi 12 avril 2014,
LT138 est revenu! J'ai raté de peu un viol! C'est ma copine Leila qui est arrivée au bon moment et qui m'a sauvé! LT138 est devenu fou de rage et s'est barré sans rien dire. Leila pense aussi que la situation n'est vraiment pas normale; elle va rester habiter un peu chez moi car son copain vient de la jeter... pour une Dorval! Il faut avouer que Leila et moi, on est resté quelques mois ensemble... C'est pas une Dorval mais c'est un bon coup!
Mercredi 13 avril 2014,
On vient de me sonner pour me prévenir que LT138 a de nouveau fait un scandale hier soir au King Kenna: trop d'alcool sans doute. Moi, je ne veux plus entendre parler de Dorval pour le moment; Leila est vraiment cool et cela me change des sorties où l'on rentrait avec LT138 à quatre pattes... Il paraît que les Lockmans se sont vraiment fait massacrer par les Dorvals; il n'y a aucun survivant. Je vais vérifier une supposition que j'ai derrière la tête...